Nous avons tous, ou presque, des gens qui ne nous aiment pas.
C'est une des traductions de la diversité, quoique vous fassiez puissiez dire, il y a des gens qui apprécient et d'autres qui détestent.
Pour ne pas avoir d'ennemi, c'est pas compliqué : il suffit de vivre seul dans un coin, de parler à peu de gens, de ne pas être visible et, si possible, d'être dans la merde.
Tout autre comportement est susceptible de provoquer une animosité.
Heureusement, l'expression de ce manque d'appétence pour votre personne ne se traduit pas par une action coercitive.
Dans le cas présent on peut penser soit à quelqu'un qui a subi ou pense avoir subi de la part du propriétaire des ruches un préjudice dont il veut se venger, et s'en prend à son bien.
Ou quelqu'un qui déteste le propriétaire des ruches, et n'a pas le courage d'exposer ses griefs.
Pour fermer toutes les portes on pourrait envisager quelqu'un qui n'aime pas les abeilles mais dans ce cas, des ruchers d'autres propriétaires seraient aussi vandalisés.
Si la présence de ces ruches ne causent pas d'ennui au voisinage, c'est bien la piste de quelqu'un qui a la haine qu'il faut privilégier ; il n'y a pas de justification à ça.
Plus on s'expose dans la société et plus on y récolte d'inimitié ou de jalousie.
J'ai subi par le passé de tels avatars, incendie d'un rucher, empoisonnement d'un autre, les raisons étaient extrasportives comme dirait l'autre (règlement de compte avec le possesseur des ruches) ; ça fait très mal.
Compte tenu de faits précédents, on a ici, sur place ou à proximité un ennemi constant qui risque de perpétrer ses exactions tant qu'il verra ces ruches (pour ce qu'elles représentent) ; je ne vois que deux solutions pour préserver l'avenir :
- Soit mettre en place tout moyen physique permettant d'identifier le malfaisant.
- Soit ne plus utiliser ces emplacements tout en faisant en sorte que les nouveaux emplacements ne puissent être identifiés.
Si je me mets à la place de Richard, subir des vandalismes avec leurs conséquences est une chose, mais vivre au quotidien avec la crainte que de tels faits puissent être réitérés chaque jour rend la vie très compliquée.